COTE 400 (La) – Sophie DIVRY

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 ★★☆☆☆ 

Les allusifs

Chers ami(e)s lecteurs(trices) de la bibliothèque de Varces, si vous avez toujours voulu savoir ce qui se cache réellement derrière l’animal-bibliothécaire, à savoir nous, et bien lisez ce livre.

La côte 400, c’est celle qui n’est pas utilisée dans la classification des documentaires. Et ça perturbe beaucoup la narratrice de ce mini-roman qu’il puisse exister une côte de décantation qui ne serve à RIEN (horreur du vide). Et ce n’est pas la seule chose du même acabit qui la gène ni qui lui pose question… Capital et existentiel, vous en conviendrez.
Mon dieu, vous direz-vous, une bibliothécaire (employons le féminin… car il est majoritaire dans la profession… ou comment l’ « auteur » de ces lignes se défausse avec courage !), une bibliothécaire, donc, serait-elle uniquement névrosée, frustrée et d’une abnégation professionnelle frisant la psychopathie ? Nous vous rassurons : la réponse est NON ! Nous témoignons !

Une soixantaine de pages qui n’ont pour but que de nous faire sourire de manière caustique… et c’est plutôt réussi. Et l’amour dans tout ça ? Il y a du boulot, certes, mais, ma foi… hé hé… il n’est pas absent… Ouf ! La bibliothécaire reste un être humain avec un petit cœur qui bat très très fort…
Mais attention, avant de vous moquer : les lecteurs des bibliothèques en prennent également un peu pour leur grade.

Christophe
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